16 juillet 2015, 21h32
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Au lendemain d’un vote nocturne du Parlement grec, qui a mis sur les rails des réformes comme gage de bonne volonté et au prix de fortes tensions politiques, elle a reçu le soutien appuyé du président de la BCE Mario Draghi pour trouver un moyen d’alléger sa dette, une nécessité «indiscutable».
Un soutien de poids, mais impuissant à enrayer la détérioration de la situation politique en Grèce, où des élections anticipées pourraient «très probablement avoir lieu» d’ici octobre, a jugé jeudi le mi...
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