14 octobre 2013, 22h35
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La NASA a mis à feu au mois d’août un moteur de fusée dont l’injecteur avait été imprimé en 3D. Il avait été fabriqué par addition de couches successives de poudre d’un alliage de métal, sur la base d’un modèle numérique en trois dimensions. Cette pièce, injectant hydrogène et oxygène dans la chambre de combustion, a permis de dégager dix fois plus de poussée que les injecteurs conventionnels, selon les ingénieurs de l’agence spatiale américaine.
L’impression 3D est également appelée fabr...
L’impression 3D est également appelée fabr...
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