09 juillet 2015, 22h55
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J’ai entendu dire, à moitié sérieusement, que le risque majeur pour la zone euro n’est pas que la Grèce s’effondre après avoir abandonné la monnaie unique mais plutôt qu’elle prospère. La Grèce prend alors un nouveau départ, exempte de dette, capable de s’adapter à l’assouplissement budgétaire plutôt qu’à l’austérité, avec une «nouvelle drachme» dévaluée qui encourage les flux touristiques et génère une expansion aussi bien industrielle qu’agricole. Lorsque les autres pays européens endettés, en...
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