23 octobre 2014, 22h56
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Odeur d’oeufs pourris, d’écurie, relent d’alcool... La comète Tchourioumov-Guérassimenko qu’escorte Rosetta ne sentirait vraiment pas bon, si l’on en croit le «nez» de la sonde européenne. Parmi ses instruments, Rosetta dispose en effet d’un spectromètre, «Rosina», capable d’étudier la composition de la chevelure de la comète, constituée des gaz et poussières éjectés du noyau sous l’effet du rayonnement solaire. Même si la comète est encore à plus de 400 millions de kilomètres du Soleil, l’instr...
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