03 septembre 2019, 19h06
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Le fait que la Suisse dépende fortement de la demande étrangère explique la prudence de nos prévisions de croissance. Ainsi, l’appréciation actuelle du franc constitue un obstacle supplémentaire pour les activités de services particulièrement exposées à la concurrence de la zone euro voisine. Le «tourisme commercial» est de plus en plus prisé des Suisses et les stations de villégiature alpines sont de moins en moins compétitives face à leurs concurrentes françaises et autrichiennes. S’y ajoute l...
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