07 novembre 2016, 20h58
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Il en va des élections comme des marchés. Depuis longtemps, l’argument pour prédire le comportement des marchés est téléonomique; il se formule: «ils» ne peuvent prendre le risque de le laisser baisser. Beaucoup s’en contentent, nous ne nous arrêtons pas là.
Nous avons abandonné le système des causes pour nous installer dans celui des Projets. Nous sommes dans un monde d’inversion, ce ne sont pas les causes qui commandent mais les «fins». Bien entendu cela veut dire que ce monde est magique et ...
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