28 juillet 2016, 21h36
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Aussi désespérantes que soient les problématiques actuelles - les déclarations intempestives de Donald Trump de sortie de l’OMC, l’incertitude liée au Brexit, le différend entre la Chine et les Etats-Unis et la lenteur du cycle de Doha -, le directeur général de l’OMC apporte une solution positive. Challengé par la presse, lors de son dernier briefing du semestre avant la pause estivale, mercredi à Genève, Roberto Azevêdo répond sans vaciller. Nommé en septembre 2013 pour quatre ans, il briguera...
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