28 octobre 2012, 20h48
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christian affolter
L’argument le plus surprenant de Standard & Poor’s pour dégrader les perspectives de dix banques françaises est celui d’une surchauffe du marché immobilier de la Grande Nation. Comme sa consœur Moody’s l’avait déjà fait l’année précédente. Notre voisin se trouverait donc dans une situation similaire, voire encore plus préoccupante que celle de la Suisse. Les critères qu’utilise The Economist pour son classement trimestriel des marchés immobiliers les plus surévalués...
L’argument le plus surprenant de Standard & Poor’s pour dégrader les perspectives de dix banques françaises est celui d’une surchauffe du marché immobilier de la Grande Nation. Comme sa consœur Moody’s l’avait déjà fait l’année précédente. Notre voisin se trouverait donc dans une situation similaire, voire encore plus préoccupante que celle de la Suisse. Les critères qu’utilise The Economist pour son classement trimestriel des marchés immobiliers les plus surévalués...
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