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Le défi de l’eurosceptique pragmatique

David Cameron. Il risque d’être le dirigeant qui a fait sortir la Grande-Bretagne de l’UE. Une vague de réfugiés suffirait à faire triompher le Brexit.

A Copenhague, le chef du gouvernement danois a apporté un soutien enthousiaste à la proposition européenne. «Adopter la 
proposition créera une meilleure Europe. Je n'interviens pas dans la politique britannique, mais j'espère que la Grande-Bretagne 
restera au sein de l'Europe», a affirmé Lars Løkke Rasmussen dont le gouvernement minoritaire de centre-droit est soutenu au 
Parlement par l'influente formation eurosceptique du parti populaire danois. «Nous avons besoin de cet accord», a-t-il martelé. Photo: Reuters
A Copenhague, le chef du gouvernement danois a apporté un soutien enthousiaste à la proposition européenne. «Adopter la proposition créera une meilleure Europe. Je n'interviens pas dans la politique britannique, mais j'espère que la Grande-Bretagne restera au sein de l'Europe», a affirmé Lars Løkke Rasmussen dont le gouvernement minoritaire de centre-droit est soutenu au Parlement par l'influente formation eurosceptique du parti populaire danois. «Nous avons besoin de cet accord», a-t-il martelé. Photo: Reuters
07 février 2016, 20h09
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Le premier ministre britannique David Cameron joue sa carrière politique et la trace qu’il laissera dans l’Histoire avec les négociations pour éviter une sortie de son pays de l’UE. La question sera tranchée par un référendum. L’histoire retiendra déjà qu’il s’est lui-même empêtré dans cette situation, annonçant en 2013, en vue des élections de 2015, cette consultation sur une question qui a toujours déchiré son parti, avec peu de chances que le débat soit jamais clos. Paradoxe d’un premier mi...
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