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Le besoin de croître est quasi sans limite

Japon. Les entreprises reprennent de grands groupes étrangers malgré le yen faible.

28 octobre 2013, 22h08
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Pas une semaine ne s’écoule sans qu’une grosse acquisition étrangère ne soit annoncée par des Japonais qui dépensent à tour de bras pour assouvir leur désir d’expansion internationale malgré un yen affaibli. Hier, NTT Communications a fait part de l’achat de deux sociétés américaines de services informatiques, Virtela et RagingWire, pour près d’un milliard de dollars.

Il y a quelques mois, le groupe de télécom nippon SoftBank avait mis sur la table 22 milliards pour s’emparer du troisième...
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