Sophie Marenne
L'Agefi - Journaliste
21 mars 2018, 23h04
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«Ce scandale n’est, a priori, pas lié à une violation de loi mais à une violation de contrat», martèle Michel Jaccard. La nuance est de taille pour le spécialiste en doit des nouvelles technologies, associé au sein d’Id Est Avocats. En 2014, les données de millions d’utilisateurs ont été récoltées par Facebook puis transmises à d’une société externe: Cambridge Analytica, «C’est elle qui a rompu son engagement contractuel vis-à-vis de la compagnie californienne. Les informations n’ont pas été vol...
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