11 février 2016, 22h59
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«Ceux qui vont offrir des roses ce dimanche pour la Saint Valentin ne vont pas mettre assez d’eau dans le vase et elles flétriront trop vite», alerte Jean-Marc Crousaz. «Au moins la moitié de la tige doit plonger dans l’eau!» S’il insiste, c’est parce qu’il s’y connait. A la tête de l’entreprise Crousaz Fleurs à Yvorne (Vaud) fondée en 1942 par son grand-père, il tient à défendre la qualité de sa production.
Jean-Marc Crousaz ne s’attend pas à des ventes record ce week-end: la fête tombant un d...
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