30 octobre 2016, 18h13
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L’Islande est entrée hier dans une phase d’intenses marchandages politiques au lendemain de législatives anticipées qui n’ont pas dessiné de majorité, malgré la percée des Pirates face à la droite gouvernementale. L’Islande apparaît divisée entre une frange de la population aspirant à tourner la page de la crise financière de 2008 et des «affaires», et une autre avant tout soucieuse de stabilité et d’indépendance. Le scrutin assure 29 sièges sur 63 à la coalition de centre-droit sortante, contre...
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