23 juin 2014, 22h20
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Si le premier ministre chinois veut investir dans les infrastructures européennes, il n’a que l’embarras du choix. Inutile de se limiter à la Grèce (L’Agefi du 23 juin). Entre Roumanie, Bulgarie, Pologne, Slovaquie ou même Italie, les opportunités ne manquent pas. Qu’il s’agisse de réseau routier ou ferroviaire, ou encore d’infrastructure portuaire, aéroportuaire, téléphonique ou électrique, certains états-membres de l’Union européenne performent moins bien que nombre de pays sud-américains ou a...
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