09 juin 2014, 20h58
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Dans «Le Capital au XXIe siècle», Thomas Piketty ne s’étend guère sur les solutions. Ainsi que son auteur le reconnaît, sa proposition - un impôt progressif et mondial sur le capital (ou le patrimoine) – exigerait un niveau important et sans aucun doute irréaliste de coopération internationale.
Il faut éviter de privilégier les solutions trop rapides. Un peu partout, la principale préoccupation des responsables politiques devrait être d’éviter le désastre - autrement dit, un événeme...
Il faut éviter de privilégier les solutions trop rapides. Un peu partout, la principale préoccupation des responsables politiques devrait être d’éviter le désastre - autrement dit, un événeme...
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