25 octobre 2016, 22h43
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Plus on ment, plus il devient aisé de mentir: des chercheurs sont parvenus à mettre en évidence expérimentalement cet effet «boule de neige» et le mécanisme biologique qui le facilite.
Au départ, le menteur ressent un inconfort lorsqu’il déforme la vérité, souligne une étude parue lundi dans la revue Nature. Mais cette gêne s’estompe à mesure que la liste de ses mensonges s’allonge. L’amygdale du cerveau qui gère certaines de nos émotions s’est en quelque sorte accoutumée. Et les mensonge...
Au départ, le menteur ressent un inconfort lorsqu’il déforme la vérité, souligne une étude parue lundi dans la revue Nature. Mais cette gêne s’estompe à mesure que la liste de ses mensonges s’allonge. L’amygdale du cerveau qui gère certaines de nos émotions s’est en quelque sorte accoutumée. Et les mensonge...
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