07 avril 2019, 9h41
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Jair Bolsonaro, qui a pris le pouvoir en janvier en promettant d'en finir avec la corruption et la "vieille politique", a connu un début de mandat avec des couacs en série qui entament sa popularité et mettent en doute sa capacité à appliquer son programme de réformes.
Le président d'extrême droite atteindra mercredi le cap symbolique des cent jours à la tête du Brésil, mais il semble n'avoir jamais connu l'état de grâce dont jouit normalement un chef de l'Etat fraichement élu.
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