15 février 2018, 12h28
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Cette riposte fait monter d'un cran la tension politique autour de l'affaire, qui a éclaté la semaine dernière avec l'implication de deux anciens Premiers ministres et huit ex-ministres, de l'opposition de droite et socialiste.
M. Tsipras avait dans la foulée enclenché lundi la procédure parlementaire permettant d'examiner les éventuelles responsabilités pénales de personnalités politiques. Dans leur majorité, les figures impliquées ont protesté de leur innocence et dénoncé une "machinatio...
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