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«Une nouvelle centrale nucléaire arriverait trop tard», avertit la CEO d’Alpiq

Selon la directrice générale d’Alpiq, Antje Kanngiesser, le problème de l’approvisionnement en électricité provient d’une production insuffisante en Europe. Personne n’a intérêt à provoquer un blackout.

Site nucléaire de Gösgen (SO). «Nous nous focalisons sur les centrales existantes et leur exploitation tant qu’elles restent sûres et rentables. Pour combler le manque de production, nous avons besoin de solutions dans les prochains 5-10 ans, analyse Antje Kanngiesser. Aujourd’hui, pour réaliser des projets d’infrastructure en Suisse, il faut compter au moins 10 à 20 ans.»
Keystone
Site nucléaire de Gösgen (SO). «Nous nous focalisons sur les centrales existantes et leur exploitation tant qu’elles restent sûres et rentables. Pour combler le manque de production, nous avons besoin de solutions dans les prochains 5-10 ans, analyse Antje Kanngiesser. Aujourd’hui, pour réaliser des projets d’infrastructure en Suisse, il faut compter au moins 10 à 20 ans.»
15 février 2022, 7h08
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Le groupe suisse au plus grand portefeuille en énergies renouvelables, Alpiq, revendique faire partie des solutions pour remédier à des pénuries d’électricité. Vers Noël, son appel à la Confédération pour honorer des appels de marge a néanmoins montré qu’il peut aussi subir les conséquences de situations extrêmes sur le marché européen de l’électricité. Sa CEO, Antje Kanngiesser, explique comment elle perçoit le débat autour de la menace de pénurie d’électricité, avec le retour des centrales nuc...
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