17 janvier 2022, 11h10
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Un peu moins d’un an. C’est le temps qu’António Horta-Osório aura passé à la présidence de Credit Suisse. Suffisant pour lancer les réformes dont l’établissement avait besoin après les scandales Greensill et Archegos mais pas pour les mener à bien. Or la banque aux deux voiles était également à la recherche de stabilité et d’exemplarité, afin de restaurer sa crédibilité. Ce n’est pas en enfreignant à deux reprises les quarantaines après des voyages à l’étranger que le président allait y par...
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