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Une bombe à retardement inquiète la medtech européenne, et la Suisse

Passé d’une cinquantaine à une vingtaine, le nombre d’agences privées habilitées à décerner les certificats MDR crée un engorgement. Les start-up sont les premières à en pâtir, notamment en Suisse.

Les fixations osseuses en cas de fracture de Medartis sont un exemple de dispositif médical exporté depuis la Suisse, de même que les pompes à insuline, stérilets, implants orthopédiques ou instruments chirurgicaux.
Keystone
Les fixations osseuses en cas de fracture de Medartis sont un exemple de dispositif médical exporté depuis la Suisse, de même que les pompes à insuline, stérilets, implants orthopédiques ou instruments chirurgicaux.
30 mars 2021, 9h20
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La medtech suisse n’est pas au bout de ses peines. En février, ses représentants tiraient la sonnette d’alarme dans L’Agefi. Ils relevaient une menace majeure qui se concrétisera à date du 26 mai, moment où la directive européenne MDD sera remplacée par la Medical Device Regulation (MDR). Plus exigeant et plus contraignant administrativement, ce changement de régime sonnera le glas du privilège d’accès des sociétés medtech suisses ­– 63.000 employés et 17,9 milliards de francs de chiffre d’affai...
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