25 février 2019, 16h35
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«Trop d’entreprises n’envisagent pas le cyberisque ou éludent ce problème», déclare Nicolas Mayencourt, fondateur et CEO de Dreamlab Technologies. Et d’illustrer son propos avec le leader du transport maritime, le danois Maersk. Victime de pirates informatiques, le groupe a dû revenir au papier pour régler ses affaires. Au moment de l’attaque, ses activités ont été mises à l’arrêt et bon nombre de marchandises, comme par exemple des bananes, ne sont pas arrivées à bon port. Il a fallu trois mois...
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