17 juin 2013, 22h15
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«Que serait le plus beau des joyaux si l’on savait qu’il avait servi à financer des conflits?» C’est ainsi que Cartier résumait discrètement sa position de boycott sur l’achat de pierres précieuses birmanes en 2007 déjà. Une petite révolution s’est opérée ces dernières années dans le monde du luxe, traditionnellement si enclin au secret et à la culture d’un certain mystère autour de ses produits. Avec des entreprises parfois centenaires, certaines maisons font aujourd’hui de leur engagement dura...
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