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Quand les universitaires découvrent les effets négatifs du franc fort

Les entreprises suisses se préparaient à des délocalisations, après l'abandon du taux plancher. Telle est l'une des principales conclusions de la première étude scientifique sur le sujet, signée par des économistes de l'EPFL et de l'Université de Genève. Communiqué sans surprise.

12 février 2016, 11h14
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En janvier 2015, la Banque nationale suisse annonçait la fin du cours plancher de 1,20 franc suisse pour un euro. En un jour, le franc s'évaluait à égalité avec l'euro, et la bourse de Zurich perdait 9% de sa valeur. Une année plus tard, des économistes de l'EPFL et de l'Université de Genève signent la première étude scientifique, qui d'analyse l'impact réel de l'événement. L'étude confirme certaines idées reçues. Par exemple, la difficulté pour les entreprises exportatrices de faire face au ren...
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