12 décembre 2013, 22h05
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Le constat principal qu’a fait hier Jean-Pierre Danthine de la BNS est simple et préoccupant. La croissance annualisée du volume de prêts hypothécaires dans l’immobilier résidentiel a été plus de deux fois plus forte que celle du PIB. Du moins au premier trimestre 2013. «L’endettement déjà élevé à l’échelle du pays a continué d’augmenter plus vite que la capacité à supporter la dette à l’aide du revenu disponible.» Ce qui explique également pourquoi le rapport entre l’augmentation du volume hypo...
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