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Pierin Vincenz abandonne sans gloire ses plus importants mandats

Gouvernance. L’ancien CEO de Raiffeisen Suisse quitte volontairement la présidence du groupe Helvetia. Il était devenu un boulet.

PIERIN VINCENZ. Un banquier ne fait pas forcément un bon président d’un assureur.
PIERIN VINCENZ. Un banquier ne fait pas forcément un bon président d’un assureur.
18 décembre 2017, 20h51
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Visé par une enquête de la Finma (Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers) en lien avec sa position antérieure chez Raiffeisen Suisse, Pierin Vincenz a annoncé lundi l’abandon de la présidence du conseil d’administration du groupe Helvetia. Si ce dernier regrette la décision de l’ancien CEO de Raiffeisen et répète n’être nullement touché par l’enquête de la Finma, Pierin Vincenz était devenu un boulet, du fait de problème de gouvernance et conflits d’intérêts supposés et bien qu...
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