25 octobre 2017, 10h35
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Kisqali est désormais autorisé en association avec un inhibiteur de l’aromatase comme thérapie endocrinienne initiale pour le traitement des femmes ménopausées ayant un cancer du sein avancé ou métastatique, avec récepteurs hormonaux (RH) positifs et récepteurs du facteur de croissance épidermique humain 2 (HER2) négatifs. Combiné à l’inhibiteur de l’aromatase létrozole, Kisqali réduirait le risque de progression ou de décès de 44 pour cent par rapport à une monothérapie au létrozole.
Kisqali e...
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