05 décembre 2012, 22h44
Partager
La Suisse a une position trop passive et devrait mettre en place un processus plus offensif, pour protéger son patrimoine et ses entreprises. Compte-tenu de sa compétitivité reconnue, elle a tout à perdre. L’intelligence économique est devenue un outil puissant, comme le prouvent les récentes affaires, de la démission de Philipp Hildebrand de la BNS au vol de données au Service de Renseignement de la Confédération (SRC). La société Scalaris, spécialisée dans la criminalité économique, a présenté...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT