10 mars 2014, 21h55
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L’approvisionnement en gaz de la Suisse n’inquiète pas politiques et industriels, tandis que le bras de fer se poursuit entre Kiev et Moscou pour le contrôle de la Crimée. La menace brandie vendredi par le géant public russe Gazprom de suspendre les livraisons transitant par l’Ukraine pourrait en revanche avoir un impact négatif sur des prix actuellement considérés modérés. A l’inverse de l’Union européenne, la Suisse n’importe qu’une proportion restreinte – moins d’un quart contre environ un ti...
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