10 juin 2015, 22h20
Partager
L’interdiction de l’argent liquide nourrit par ailleurs l’hypothèse d’une échappatoire pour les Etats actuellement surendettés et surimposés. L’expérience chypriote de la dépossession d’une partie des dépôts bancaires laisse des traces: face à des Etats-providence surdimensionnés et à des populations réticentes en apparence aux réformes, les conditions d’une expropriation partielle semblent données. Le danger de la transparence de toutes les transactions financières ne peut être sous-estimé de c...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT