13 juillet 2015, 15h53
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D’énièmes réunions bruxelloises n’ont pas mis un point final à la crise grecque. Mais en envisageant par écrit une sortie de la Grèce de l’euro, les institutions européennes ont acté le fait qu’adopter la monnaie unique n’est pas irréversible, exposant une profonde fracture franco-allemande.
Croire que la zone euro pourrait se désagréger, c’est «méconnaître le capital politique que nos dirigeants ont investi dans cette union et le soutien des Européens. L’euro est irréversible». La phrase date ...
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