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Investissement, Pierre-Yves Maillard, BNS: les trois mots-clés de la semaine

Vous n’avez pas eu le temps de suivre toute l’actualité économique et financière ces derniers jours? Voici les trois informations qui ont marqué cette semaine.

Investissement, Pierre-Yves Maillard, BNS: les trois mots-clés de la semaine
11 janvier 2025, 8h30
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1. Actions, obligations, bitcoin: comment investir en 2025

Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche marque le début de cette année, aussi en Suisse et en Europe. Jusqu’où le nouveau président ira-t-il dans la mise en œuvre de ses promesses de campagne, et quelles en seront les conséquences pour les banques centrales, la conjoncture et l’investissement? Trois stratégistes de l’Isag évaluent les perspectives d’investissement de cette année.

2. «Plutôt qu’une caisse unique fédérale, il faut une mutualisation cantonale du système de santé»

L’an dernier a été marqué par deux victoires de Pierre-Yves Maillard dans les urnes sur le thème des retraites: l’introduction d’une 13e rente AVS et le rejet d’une adaptation du 2e pilier au changement démographique.

Président de l’Union syndicale suisse (USS) depuis 2019, l’ancien conseiller d’Etat vaudois revient sur son opposition au paquet d’accords avec l’Union européenne (UE) auquel a abouti le Conseil fédéral fin 2024. Celui qui militait pour une adhésion à l’Espace économique européen (EEE) en 1992 se montre aujourd’hui très sceptique sur le rapprochement de la Suisse avec son grand voisin. Entretien.

3. Les milliards de la BNS pour les cantons, une fausse bonne nouvelle

Un «joli cadeau de Noël». C’est ainsi que le conseiller d’Etat valaisan Roberto Schmidt, en charge des Finances, a décrit les 80 millions de francs de dividendes de la Banque nationale suisse (BNS) que recevra son canton cette année. Ce montant représente 26 millions de plus que prévu. Le centriste a déclaré vouloir allouer ce supplément à la compensation du déficit sur lequel pourrait déboucher l’exercice 2024. Or, aucun des 80 millions n’avait à être espéré, pas plus que le reste des 3 milliards que cantons et Confédération toucheront au total. Et ce, pour au moins trois raisons. Notre éditorial.