03 septembre 2015, 21h44
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Le président non-exécutif, Michel Demaré, a toujours souligné le niveau trop bas et inacceptable des offres successives de Monsanto. Sans vraiment pouvoir défendre sa position auprès des grands actionnaires, le plus souvent en position dans les deux groupes rivaux. Le dialogue est maintenant relancé.
Les mesures annoncées sont-elles une réponse directe à la pression du marché ou le résultat d’une réflexion plus profonde sur la valorisation de Syngenta?
C’est une combinaison des deux. Le marché...
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