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Les prévisions sont bien trop pessimistes

Fiscalité des entreprises. Le calcul du manque à gagner fiscal s’appuie sur une approche statique des conséquences de la troisième réforme.

Benoît Genecand. Député au Grand Conseil de Genève.
Benoît Genecand. Député au Grand Conseil de Genève.
15 octobre 2015, 21h28
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La nécessité de la troisième réforme de l’imposition des entreprises ne fait pas débat. Les standards internationaux ont changé. L’Union européenne et l’OCDE ont fait pression pour que soient abolis les statuts fiscaux spéciaux dont bénéficiaient certaines sociétés en Suisse. Tout le monde s’accorde à dire que le cadre doit être révisé. Ne serait-ce que pour que l’économie puisse évoluer dans un contexte moins instable. Reste que la seule abolition des régimes fiscaux privilégiés n’est pas suffi...
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