12 décembre 2013, 21h50
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Les exigences plus élevées en capital sous le régime de Bâle III et la nécessité d’une réduction du degré d’endettement (leverage ratio) requise au plan national poussent les banques à se concentrer sur des activités génératrices de commissions mais moins intenses en capital. Les banques ne sont plus en mesure (du moins comme avant!) d’assurer les opérations de financement d’un bout à l’autre de la chaîne de crédit. Elles assument toujours des risques de crédit et de marché, mais uniquement pour...
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