28 septembre 2015, 21h38
Partager
Dans «Notre ami Bernard Tapie» (l’Archipel), le journaliste Ian Hamel, s’intéresse moins à la personnalité du célèbre homme d’affaires français qu’aux mécanismes lui ayant permis de devenir milliardaire. L’auteur rappelle ainsi qu’en 1990, déjà criblé de dettes, Bernard Tapie achète l’une des plus célèbres marques au monde, Adidas, sans débourser un centime avec l’aide de François Mitterrand et du Crédit Lyonnais. En 2007, le pouvoir lui accorde 403 millions d’euros lors de l’arbitrage dan...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT