Sophie Marenne
L'Agefi - Journaliste
21 septembre 2018, 19h00
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«Quand je suis arrivé à la tête de l’entreprise, j’imaginais des développements au bout du monde. Je nous voyais vendre de la Williamine en Chine. Je ne m’étais pas aperçu de l’immense potentiel que nous avions au niveau local», explique Fabrice Haenni, directeur de la distillerie octodurienne. Alors qu’environ 10% des ventes de l’entreprise se réalisent à l’étranger, ce sont celles de la boutique jouxtant la fabrique qui prennent de plus en plus d’ampleur. L’agrandissement du magasin – dont la ...
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