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L’éloge de l’abandon du secret bancaire

La Suisse a prouvé qu’elle avait davantage à offrir que des bonnes conditions pour contourner le fisc. Selon le secrétaire d’Etat aux questions financières internationales.

31 janvier 2016, 19h45
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La fin du secret bancaire pour les clients étrangers n’a pas porté préjudice à la place financière helvétique, estime Jacques de Watteville, secrétaire d’Etat aux questions financières internationales. La Suisse demeure sous pression avec la fiscalité des entreprises.

Avant sa retraite en juin, Jacques de Watteville a tiré vendredi dernier un bilan favorable de sa période à la tête du Secrétariat d’Etat aux questions financières internationales (SFI). En arrivant en 2013, la Suisse craign...
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