08 juillet 2015, 21h57
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Les effets directs de la crise grecque ne devraient pas être surestimés. Le département recherche de Credit Suisse a présenté hier sa perspective intermédiaire sur les stratégies d’investissement et n’a pas conclu à une impasse dramatique.
La question bien sûr reste ouverte d’une sortie brutale de la Grèce de la zone euro. «Ce n’est pas le scénario que nous privilégions», a précisé Anja Hochberg, directrice des investissements Suisse et Europe. Le dossier reste néanmoins d’importance et l’éch...
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