09 février 2016, 21h03
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Les canaux digitaux ont longtemps été jugés par le private banking suisse comme un danger. Voire un simple gadget. Persuadé que le contact humain entre le conseiller et son client serait immuablement suffisant et supérieur à toute plateforme froide et digitale. Il est certainement supérieur sur certains aspects, mais de loin plus suffisant dans le monde d’aujourd’hui.
La prise de conscience est souvent venue d’Asie, où certaines banques privées suisses ont constaté que l’absence d’online...
La prise de conscience est souvent venue d’Asie, où certaines banques privées suisses ont constaté que l’absence d’online...
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