05 décembre 2013, 22h56
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CEO de la filiale brésilienne du groupe Victorinox, Karl Kieliger prédit un avenir brillant pour le producteur de l’emblématique couteau suisse. Le Brésil n’est toutefois pas un marché facile pour les biens importés. Lourde bureaucratie, taxes élevées et législation complexe sont quelques-uns des obstacles à franchir.
Quelles sont vos activités
au Brésil?
Nous y sommes depuis 1993 et nous y avons une filiale. Nous comptons une trentaine d’employés et un nombre équivalent de ...
Quelles sont vos activités
au Brésil?
Nous y sommes depuis 1993 et nous y avons une filiale. Nous comptons une trentaine d’employés et un nombre équivalent de ...
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