28 avril 2014, 22h14
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Si les autorités de régulation pensaient en avoir fait assez, elles se leurrent. Les ratios de 4,5 à 7% de Tier 1 et le ratio de levier de 3% paraissent tout à fait insuffisants à la titulaire de la chaire de Finance et d’Economie de la Graduate School of Business de l’Université de Stanford, Anat Admati, invitée hier à l’EPFL par Luisa Lambertini, professeure au Swiss Finance Institute. Revenant sur les thèmes de son best seller*, Anat Admati juge que les nouvelles exigences sont fo...
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