18 septembre 2012, 22h22
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On sait que le modèle d’affaires de l’assurance est par essence moins dépendant des liquidités que celui de la banque. Il n’empêche que la crise actuelle de la dette souveraine pourrait inciter un nombre croissant de souscripteurs de contrats d’assurance-vie à racheter avant terme tout ou partie de leur mise et créer ainsi un problème de liquidités à ces assureurs. Ce risque pourrait par exemple se matérialiser dans un pays qui déciderait de quitter la zone euro. Les régulateurs et superviseurs ...
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