26 avril 2012, 22h35
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«La place financière genevoise n’est pas vouée à disparaître, elle ne sera toutefois peut-être plus un moteur de croissance pour l’économie régionale d’ici quelques années». C’est ainsi que David Hiler, le conseiller d’Etat en charge du département des finances à Genève a fait référence hier à l’évolution conjoncturelle locale. «Le secteur financier (un peu moins de 20% du PIB cantonal) va devoir digérer le coût des accords Rubik (l’impôt libératoire) et autres réglementations, ainsi qu’une poss...
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