06 janvier 2014, 22h17
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A chaque fois (ou presque) que le nom d’Antoine Hubert apparait dans une transaction connue du public, il est fait allusion à sa personnalité, à son style de management, à son parcours. L’offre de reprise (courant jusqu’à fin janvier) sur le groupe hôtelier bernois Victoria-Jungfrau marque de ce point de vue une sorte de tournant. Pas seulement dans les médias francophones, également du côté alémanique, où aucun support n’a à aucun moment mis en cause la crédibilité du repreneur Aevis (don...
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