14 septembre 2017, 22h23
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Si les investisseurs sont en Suisse relativement prodigues lors des premières phases de la création d’entreprises, ils affichent davantage de réticence aux stades ultérieurs. Ce sont les financements octroyés durant les premières années, à concurrence de deux millions de francs, qui dominent. Les sources de financement suisses se tarissent dès qu’il faut passer aux stades postérieurs : développement des capacités de production et de distribution, mise au point de la prochaine génération de produ...
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