20 juin 2013, 21h55
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L’effondrement d’une usine textile au Bengladesh a révélé
des dessous peu glorieux.
Faut-il un scandale pour faire bouger les choses?
Il en va toujours ainsi, les entreprises ne bougent pas s’il n’y a pas de pressions exercées sur elles pour établir plus de transparence sur leurs chaînes de production. Cette situation était extrême, même pas nouvelle. Des activistes critiquent ce type d’entreprises depuis des années. Dans tout produit commercialisé, vous avez des violations...
des dessous peu glorieux.
Faut-il un scandale pour faire bouger les choses?
Il en va toujours ainsi, les entreprises ne bougent pas s’il n’y a pas de pressions exercées sur elles pour établir plus de transparence sur leurs chaînes de production. Cette situation était extrême, même pas nouvelle. Des activistes critiquent ce type d’entreprises depuis des années. Dans tout produit commercialisé, vous avez des violations...
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