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La start-up Earkick échappe de justesse à la faillite de SVB

La société présente à Zurich a pu transférer ses liquidités à temps vers la Suisse. Peu de sociétés du pays sont touchées par la faillite de la Silicon Valley Bank.

Le siège de la Silicon Valley Bank (SVB) à Santa Clara, en Californie. L'institution a fait faillite, en fin de semaine dernière. Le risque de contagion vers la tech helvétique est limité. Earkick a par exemple pu rapatrier ses fonds. Trifork devrait pouvoir récupérer les siens. Et Decentriq, qui est débitrice de la SVB, n'a pas de dépôts auprès de la banque.
AP - Keystone
Le siège de la Silicon Valley Bank (SVB) à Santa Clara, en Californie. L'institution a fait faillite, en fin de semaine dernière. Le risque de contagion vers la tech helvétique est limité. Earkick a par exemple pu rapatrier ses fonds. Trifork devrait pouvoir récupérer les siens. Et Decentriq, qui est débitrice de la SVB, n'a pas de dépôts auprès de la banque.
Sophie Marenne
13 mars 2023, 17h27
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«Nous avons eu énormément de chance. Nous avons pu transférer la plupart de nos fonds vers notre compte en Suisse, juste au bon moment. Cela a sans doute sauvé notre entreprise, nous épargnant de potentielles interruptions de service», témoigne Herbert Bay, CEO et cofondateur d’Earkick. Cette application offre un compagnon numérique à 20.000 premiers utilisateurs majoritairement aux Etats-Unis, qui souffrent de problèmes de santé mentale. La start-up helvético-américaine se déploie entre San Fra...
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