25 janvier 2015, 20h15
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LVMH, qui détient TAG Heuer et d’autres marques horlogères, «se serait bien passé» de l’abandon du cours plancher du franc suisse mais «s’en sort mieux que d’autres» face à cette décision, a dit à l’AFP Jean-Claude Biver, qui préside l’activité Montres du groupe. «On s’en serait bien passé. Mais pour nous ce n’est pas un tsunami», a-t-il déclaré vendredi dernier en marge d’un événement de TAG Heuer à Paris. Le CEO du numéro un mondial de l’horlogerie Swatch Group, Nick Hayek avait qualifié la me...
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