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I’m  a  girly:  les poupées suisses  en rupture de stock  aux  États-Unis  

Avec 100.000 poupées et accessoires vendus en 2020 à travers le monde, la zurichoise Theresia Le Battistini s’est fait une place dans l’univers des jouets avec sa start-up I’m a girly.  

Theresia Le Battistini a fondé la start-up I'm girly après avoir travaillé huit ans dans le milieu bancaire.
I'm a girly
Theresia Le Battistini a fondé la start-up I'm girly après avoir travaillé huit ans dans le milieu bancaire.
26 février 2021, 8h30
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Theresia Le Battistini a travaillé huit ans comme cheffe de projet pour UBS, avant de tout lâcher pour se frotter aux grands noms du jouet. Avec sa start-up I’m a girly, elle développe des poupées, têtes à coiffer et accessoires depuis 2016. Aux quatre coins du globe, les étalages des magasins et les sites en ligne proposent la marque zurichoise, alors qu’elle est encore peu présente en Suisse. Pourtant, la fondatrice se targue de proposer des prix abordables,&...
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